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全球污染成连锁反应,物种污染已是裙带关系',作为罪魁祸首--人,作为食物链条最最顶端的人,自然厄运难逃!:frown:,、、、不过迟早的问题''!
目前食物链上最底端的食物或许稍微安全点',看来也只能把蔬菜水果作为进食首选了''
说环境太沉重,还是说鱼让人轻松,话说这两天皇历大黄,前方战事异常激烈,其中更有某老牌资深半服役渔夫连续战斗三天马不停蹄:p
本周末皇历稍暗'不过于这样的季节已经无所谓了,
Post by zhen;3235100
钓鱼要开心,食鱼要当心
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How safe are St. Lawrence River fish?
westendadmin January 27, 2013 Environment, Health, John Symon, Life No Comments
Government guidelines available…
by John Symon
A press release by ice fishing company recently published in this newspaper (and elsewhere) suggested that waters of the St. Lawrence River around Montreal are clean and that fish caught around here thus are safe to eat. “The St. Lawrence River is therefore clean… and that’s not fishy! At least 53 different species of fish can be found in the river between Montréal and Sorel many of which are edible, such as walleye, burbot, bass, pike and perch,” reads part of that release. In fact, the Quebec government, Environment Canada, and Health Canada have issued guidelines on this subject and the reality is more complicated than it first seems.
Mercury concentrations increase going up the food chain
Image: courtesy of Environment Canada
It is important to understand that fish can be highly contaminated with pollutants even if the waters in which they live in are fairly clean. This can happen through the process of bioaccumulation reports Environment Canada in the web article “Mercury in the Food Chain.” That document describes how mercury can be up to 10,000,000 times more concentrated in the flesh of certain fish or birds (all near the top of the food chain) than it is the water where they live. Plant-eating fish tend to have much lower concentrations of mercury than do top predators (i.e. pike, musky, eels, otters, kingfishers). Bigger fish will probably also have higher concentrations of mercury than smaller fish of the same species.
Fish caught in areas of relatively clean water may have also spent time in other areas where the water is not so clean. And there are areas around Montreal Island with water quality issues. And sometimes pollutants can be airborne, contaminating seemingly pristine, remote lakes.
The Quebec Ministry of Sustainable Development’s online article entitled “Guide de consommation du poisson de pêche sportive en eau douce” lists mercury, PCBs, DDT, dioxins, Mirex, and furans as the principal contaminants that concern local fresh water fish. This document points to eels as being particularly contaminated with mercury, suggesting for the general population to eat as little eel as possible. Women who are pregnant, however, together with nursing babies and young children should not eat any eel. There is no such warning for any other species of fish found locally.
While mercury is not the only contaminant in fish, it is perhaps the one that has been most studied and best understood. And some mercury is naturally-occurring, but man-made pollution increases the amount of mercury in the environment. These documents point out that a human body can naturally eliminate mercury over time and the main danger is in eating too much contaminated fish over a short period of time. Again, it is women who are pregnant, nursing babies, and young children who are at most risk.
This reporter is not trying to frighten people away from eating fish caught locally, but merely trying to correct some possible misconceptions. It is also important to put this issue into perspective and realize that there are low levels of contamination in many foods bought in our supermarkets. This reporter also goes fishing with his son around Montreal Island and does not hesitate to eat certain fish caught at certain locations. Bass, perch, trout, and shad are my favourites. I also enjoy eating pike, which tends to have more mercury, but make a point of not eating another pike for many months afterwards. Let me further add that ice-fishing can be a lot of fun. I just hope that fishermen are aware of the guidelines…
Mercury in the Food Chain:
www.ec.gc.ca/mercure-mercury/default.asp?lang=en&n=d721ac1f-1
Guide de consommation du poisson de pêche sportive en eau douce:
www.mddep.gouv.qc.ca/eau/guide/complement.htm#facteur-affectent-degre
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Guide de consommation du poisson de pêche sportive en eau douce
Présentation du Guide
Ce guide, qui répertorie 948 sites de pêche au Québec et près de 40 espèces de poisson, renseigne sur la consommation du poisson de pêche sportive selon les espèces et leur taille. Le nombre de repas est déterminé sur une base mensuelle en calculant qu’un repas équivaut à une portion de 230 grammes (8 onces avant la cuisson) de poisson d'eau douce pêché au Québec.
Les principaux facteurs pour déterminer le degré de contamination de la chair de poissons pêchés à un endroit donné sont l'espèce et la taille : petit, moyen et gros. Les recommandations contenues dans le présent guide tiennent compte de ces deux facteurs.
Les règles qui y sont présentées visent à mettre en garde contre les risques liés à la consommation de poisson à long terme. Elles concernent particulièrement les personnes qui ont l’habitude de consommer fréquemment du poisson. Elles sont valables en tout temps, sauf avis contraire des responsables de la santé publique de votre région.
Si on ne consomme du poisson qu’à l’occasion, lors d’un voyage de pêche par exemple, le risque d’accumuler des contaminants dans l’organisme est alors quasi inexistant, de sorte qu’aucune restriction n’est suggérée.
Pour les personnes vulnérables, les jeunes enfants, les femmes qui planifient une grossesse, les femmes enceintes et celles qui allaitent, on recommande d’éviter de consommer souvent les espèces les plus sujettes à la contamination, telles que le doré, le brochet, le touladi, l'achigan et le maskinongé. Elles doivent leur préférer les espèces correspondant à la règle de « sans restriction (8 repas/mois) » comme le grand corégone, l'omble de fontaine et les autres truites à l'exception du touladi et certaines espèces marines. Toutefois, la consommation de thon frais, de requin ou d'espadon doit être limitée à un repas par mois.
Le risque encouru est fonction de la quantité moyenne de contaminants ingérés quotidiennement, de la durée de la période de consommation et de la vulnérabilité de la personne. La limite de consommation doit tenir compte de toutes les espèces consommées durant le mois. Par exemple, la limite pour des gros spécimens de doré jaune, de perchaude et de meunier noir pêchés dans le lac Saint-François est de deux, quatre et huit repas par mois respectivement. Dans ce cas, un repas de doré jaune équivaut à deux repas de perchaude et à quatre repas de meunier noir. Par exemple, pour une période d'un mois, un pêcheur respecte la limite de consommation lorsqu'il prend un repas de perchaude, deux repas de meunier noir et un repas de doré jaune.
Les règles de consommation sont indiquées seulement pour les espèces et les classes de tailles des poissons capturés à un site donné. Lorsqu'il n'y a pas d'indication pour la taille d'une espèce, la règle de consommation de l'espèce plus grande s'applique. S'il n'y a pas d'indication pour la taille plus grande ou si un site n'est pas indiqué dans la table, il faut alors se rapporter au tableau « Règles générales de consommation pour les sites non inventoriés dans le guide ». On ne peut pas déterminer la règle de consommation d'une espèce de taille plus grande en prenant celle d'une plus petite, car la teneur en contaminants augmente généralement avec la taille des poissons.
Pour obtenir plus de renseignements sur la consommation de poisson de pêche sportive en eau douce, consultez notre section plus détaillée.
Règles générales de consommation pour les sites non inventoriés dans le guide
Dans le tableau ci-dessous, les espèces de poissons sont classées en trois catégories basées principalement sur le type d'alimentation (insectivore, benthivore, piscivore) des poissons et sur leur teneur en mercure. Ainsi, le degré de contamination augmente de haut en bas dans le tableau : les espèces piscivores (doré, brochet, etc.) présentent davantage de risques de contamination que les espèces insectivores (omble de fontaine, etc.). Les recommandations données dans ce tableau ne tiennent pas compte de la taille des poissons ni des différences entre les divers sites.
ESPÈCES
RÈGLES DE CONSOMMATION
- Grand corégone
- Omble de fontaine (truite mouchetée)
- Autres truites (sauf le touladi)
- Éperlan arc-en-ciel
- Saumon de l'Atlantique
- Poulamon
- Alose savoureuse
Aucune restriction
- Barbotte
- Crapet
- Esturgeon
- Lotte
- Meunier
- Perchaude
Consommation recommandée :
un (1) repas* par semaine ou moins
- Achigan
- Brochet
- Doré
- Maskinongé
- Touladi (truite grise)
Consommation recommandée :
deux (2) repas* par mois.* Un repas : 230 grammes (8 onces) de poisson frais. |
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